• Menu
  • Menu
thibaut schweppes

Gamin voyageur : le livre

J’ai commencé à écrire sérieusement ce livre il y a 2 ans, lors d’un séjour de 3 mois à Melbourne. Il y avait certains chapitres de ma vie que j’avais envie de raconter mais qui étaient trop intimes ou qui n’avaient aucun rapport avec le voyage et qui ne pouvaient être publiés sur ce blog.

Gamin voyageur couverture livre
La couverture. Je vous avoue qu’elle m’a aidé à ne pas lâcher quand je passais 14 heures par jour à essayer de terminer ce bouquin que je détestais un jour sur deux.

Je voulais parler de ce qu’il se passe derrière les voyages, de la maladie de ma maman et de ma relation avec elle, de sexe, de solitude et d’histoires d’amour.
Alors j’écrivais des chapitres intimes mais il me manquait quelque chose et la motivation nécessaire pour aller au bout du projet.
J’ai repris l’écriture un an et demi plus tard, pendant mon séjour de 3 mois à Montréal. Je venais de vivre le dernier chapitre du livre et j’ai senti qu’il y avait cette fois vraiment un début, une fin et un fil conducteur. Avec la sensation que je pouvais enfin raconter quelque chose qui avait un sens, j’ai fini par jouer le jeu à fond, sans tabou (j’en ai peut-être trop dit d’ailleurs). Et à force d’y passer des journées entières, je crois qu’à la fin j’y ai mis tout mon cœur.
Certains chapitres sont déjà sur le blog mais ils ont tous été retouchés et approfondis et j’espère que ces quelques heures avec moi vous plairont.

Je précise que même s’il y a quelques récits de voyages, c’est surtout le journal intime de mes 4 ou 5 dernières années, après mon tour du monde en 2013. Ce n’est pas le journal de bord d’un grand voyageur ou d’un aventurier.
Solitude, histoires intimes, ruptures, confessions et un peu d’aventures sont au programme.
Vous pouvez lire l’introduction dans l’article intitulé “Maman” sur mon blog, et même quelques pages en plus si vous allez voir ça sur Amazon.




La première fois qu’elle m’a souri, j’ai trouvé ça magnifique. Ça n’a duré que quelques secondes à peine parce qu’il y avait du monde et qu’elle était occupée, mais c’était puissant. C’est comme s’il me confirmait déjà tout ce qui allait suivre.
Mia était ici pour son travail d’artiste et c’était beau de la voir dessiner avec passion. Avec ses cheveux courts et son visage d’enfant, elle ressemblait à une héroïne de film d’animation ou de manga. Il suffisait qu’elle montre ses dents en souriant et son visage s’illuminait instantanément. C’était un peu de la triche.

  • 34 000 mots
  • 156 pages (pas de photos)
  • 6.99€ en e-book
  • 13€ en format papier

Si éventuellement vous voulez recevoir le livre de ma part, avec un petit mot, contactez moi en privé 😉

Laisser un commentaire